AFRY/ mars 1, 2022/ Uncategorized/ 0 comments

  1. Comment vous présenteriez vous, quelle est votre histoire ?

Je m’appelle Samuel Gélinas, je suis directeur de l’école secondaire Norval-Morrisseau à Richmond Hill. Je suis un passionné par les sports, l’éducation et la technologie.

J’ai fait mes études à l’Université Laval en enseignement des mathématiques au secondaire avant de déménager en Ontario. J’ai travaillé 6 ans à l’école secondaire Jeunes sans frontières, 4 ans comme enseignant de mathématiques et de programmation et 2 ans comme directeur adjoint.

C’est ma première année à l’école secondaire à Norval-Morrisseau et ma première expérience comme directeur d’école et puisque j’aime bien relever les défis, je viens d’entamer une maitrise en Éducation à l’Université d’Ottawa.

 

  1. Pourriez-vous nous parler de votre établissement et de son équipe pédagogique ?

L’école secondaire Norval-Morrisseau est une école à taille humaine qui n’a rien à envier aux grandes écoles. Notre école a ouvert ses portes en 2012, nos installations sont donc très modernes.

Nous offrons à nos élèves plusieurs programmes d’enrichissement scolaire (programme Advanced Placement®, programme de robotique et programme stratège) et une diversité de choix de cours.

Notre équipe pédagogique est compétente et dévouée. Nous avons la chance de compter sur un parfait mélange d’enseignantes et d’enseignants d’expérience et d’autres de la relève. Choisir Norval-Morrisseau c’est aussi choisir une équipe humaine et dynamique qui contribue à la réussite des élèves et offre un accueil chaleureux et une ambiance familiale.

 

  1. Pourriez-vous nous donner votre vision de l’éducation ?

Notre rôle, en tant qu’éducateurs, est d’aider tous les élèves à atteindre leur plein potentiel et à développer les compétences qui leur permettront d’obtenir les meilleures opportunités dans leur parcours personnel et professionnel. Nous contribuons à bâtir la société de demain.

 

  1. Quelles sont les valeurs qui vous animent et qui donnent du sens à votre quotidien de directeur d’établissement ?

Ce sont principalement mes valeurs humanistes comme l’inclusion, l’ouverture et la générosité qui donnent le plus de sens à mon rôle au quotidien.

 

  1. Quelles sont les richesses d’un établissement francophone ici en Ontario ?

Il va de soi que les diplômés et les diplômées des établissements francophones en Ontario prennent d’assaut le marché du travail avec un avantage concurrentiel considérable.

Les écoles du Conseil scolaire Viamonde favorisent un climat d’entraide et de confiance pour tous les membres de notre communauté minoritaire francophone, quelles que soient leur origine, leurs croyances, ou ce qui forge leur identité.

 

  1. Pourriez-vous nous parler d’une ou plusieurs réalisations passée(s), présente(s) ou future(s) dont vous êtes fier (e) dans le cadre de vos missions ?

Lorsque je prends le temps de m’arrêter et de poser un regard sur l’ensemble de ma jeune carrière en éducation, il y a plusieurs choses qui me rendent fier : mon développement professionnel, les championnats aux compétitions francophones de hockey et de soccer et la planification des camps de technologies pour et par les élèves pour ne nommer que ceux-là. Toutefois, il y a une réalisation qui ressort du lot.

En 2018-2019, une équipe d’élèves engagés et moi-même avons planifié et animé des ateliers technologiques auprès  d’aînés et de retraités francophones de la région de Peel et des alentours. Avec un pas de recul, je réalise que nous avons contribué à briser l’isolement et à améliorer la qualité de vie d’aînés francophones, qui, en raison de leurs apprentissages, ont été en mesure de garder contact avec les gens qui leur sont chers, même au plus fort de la pandémie.

 

  1. Quels projets et quel développement voyez-vous pour l’école à 3-5 ans ?

L’école secondaire Norval-Morrisseau est comme un trésor caché. Nous accueillons présentement 150 élèves et nous voulons nous assurer de faire profiter à davantage de familles de l’éducation de qualité qui y est offerte.

Bien que Norval-Morrisseau se distingue déjà en termes d’innovation pédagogique, nous souhaitons développer davantage nos programmes d’éducation technologiques. Les cours de robotique et de programmation permettent aux élèves de développer les compétences du 21e siècle, notamment la créativité, l’innovation, la pensée critique, les habiletés de résolution de problèmes et la collaboration.

Nous miserons également sur le développement professionnel de notre personnel chevronné afin de diversifier davantage l’offre de cours et élargir nos horizons. À titre d’exemple, dès l’année prochaine, nous comptons offrir deux nouveaux cours, soit Les Premières Nations, les Métis et les Inuits au Canada, en 10e année, et Découvrir les voix contemporaines des Premières Nations, des Métis et des Inuits, en 11e année.

 

  1. Quels ont été pour vous les freins et les opportunités de la pandémie de COVID-19 ?

Dans le contexte des différents confinements et de la distanciation physique, il est clair que la pandémie a eu un impact considérable sur la santé mentale des enfants, des adolescents et des adultes.

Également, la pandémie a contribué à accentuer les écarts d’apprentissages entre les élèves.

D’un point de vue plus positif, la majorité des élèves et des membres du personnel ont fait des progrès considérables sur le plan technologique. Il y a deux ans, jamais nous n’aurions imaginé que l’ensemble de notre communauté scolaire serait prêt à basculer d’un mode d’apprentissage à l’autre en un claquement de doigts.

 

  1. Selon vous quels sont les évènements qui vont marquer 2022 au sein de votre Conseil Scolaire ?

Fidèle à sa mission, le Conseil scolaire Viamonde continuera d’être un chef de file en éducation, offrant des écoles novatrices à taille humaine où les élèves s’épanouissent et s’engagent dans un environnement équitable et inclusif qui valorise la diversité.

Toujours selon moi, le Conseil scolaire Viamonde misera sur la promotion d’un climat positif qui soutient la réussite et le bien-être des élèves et du personnel afin d’affronter les défis auxquels la pandémie nous a confrontés.

 

  1. Quelle est la question que nous n’avons pas posée et que vous auriez aimé que l’on vous pose ?

J’aurais apprécié qu’on me demande quelles sont mes disponibilités pour une prochaine entrevue! Blague à part, c’est un plaisir de collaborer avec l’AFRY dans l’exercice de mes fonctions et j’espère que nous aurons l’occasion de répéter l’expérience dans un futur rapproché.

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